Les infâmes trahisons de Dalil Boubakeur envers la communauté musulmane resteront à jamais gravées dans tout esprit conscient de la gestion coloniale des musulmans par la France. Aux services des élites depuis 2003, Boubakeur a non seulement soutenu les lois islamophobes (comme celle de l’interdiction du voile à l’école), mais aussi et avant tout empêché les musulmans de France de s’organiser de façon indépendante et structurée afin qu’ils puissent défendre leurs propres intérêts. Toute sa carrière a été vouée à laïciser l’islam, à concrétiser le processus d’acculturation des musulmans de France et à prôner un discours d’obéissance servile à la politique discriminatoire de ses maîtres envers la communauté musulmane.
En dépit de ses nombreux efforts acharnés pour abolir au plus possible les valeurs et les pratiques islamiques, de plus en plus de citoyens musulmans se réapproprient leur identité et se mettent à pratiquer leur religion. Bien entendu, le gouvernement français interprète ces pratiques religieuses comme « des signes de radicalisation » et comprend enfin que Dalil Boubakeur n’est après tout pas si efficace que ça. C’est pourquoi un changement stratégique a été envisagé dans les coulisses de l’Élysée qui consiste à remplacer le médecin algérien par un Français de souche qui doit prendre la relève en assurant une « discrétion » durable des musulmans…
L’INSOUMISSION DE DALIL
Les choses ne vont actuellement pas bien pour Dalil Boubakeur. Avec la nomination de Jean-Pierre Chevènement à la tête de « la Fondation pour l’islam de France », Boubakeur subit une concurrence gênante qui risque de lui coûter cher. Après avoir fidèlement servit Sarkozy et Hollande durant près d’une décennie et demie, celui-ci risque de devoir rejoindre les musulmans de la masse qu’il a dénigrés et stigmatisés durant toutes ces années.
Il est cependant hors de question que Dalil abdique sa fonction d’Oncle Tom aussi facilement. Pour contrer son remplacement, le « collabeur » le plus notoire de la République s’est insurgé contre la décision de son maître en rédigeant la « Proclamation de l’islam en France », un document hallucinant représentant le summum d’une hypocrisie qui vire vers un fanatisme et un obscurantisme sectaire.
En brandissant la nouvelle proclamation, Dalil Boubakeur se jette à nouveau sur le devant de la scène de « l’islam de France » pour reconquérir son trône. Il a bien compris que s’il souhaite poursuivre sa glorieuse carrière de béni-oui-oui, il doit d’abord éliminer la nouvelle concurrence en se rebellant contre la nomination de Jean-Pierre Chevènement. Dès lors, Boubakeur a déclaré condamner fermement « la tendance actuelle à vouloir désigner des autorités de tutelle, n’étant pas de confession musulmane, aux fins d’encadrer avec paternalisme l’expression du fait religieux musulman dans la société française : ceci, au mépris de la liberté religieuse et de la séparation des églises et de l’État. »
Lorsqu’un non-musulman est désigné comme « autorité de tutelle » pour influencer l’islam en France, il s’agit d’un mépris de la séparation des églises et de l’État. Mais lorsque ce même État manipule une marionnette venue d’Algérie pour dédouaner les lois islamophobes et appeler les musulmans à renier leur identité, la séparation de l’Église et de l’État semble être parfaitement respectée.
À vrai dire, que ce soit Chevènement ou Boubakeur qui gère la Fondation pour l’islam de France, cela ne change strictement rien. Leur mission reste la même : faire renoncer les musulmans à ce qu’ils ont de plus précieux ; leur religion, leur culture et leurs valeurs…
LA « PROCLAMATION DE L’ISLAM EN FRANCE »
La « Proclamation de l’islam en France » fut annoncée le 29 mars 2017 par Dalil Boubakeur lors d’une interview exclusive accordée à un magazine qui assume pleinement son islamophobie. Trois mois plus tard, elle est suivie d’une deuxième déclaration qui s’intitule la « Proclamation des droits des femmes dans l’islam de France ». Dans les 25 points du premier document, les six millions[1]Bien que ce soit le nombre communément admis, plusieurs chercheurs estiment que le nombre réel de musulmans est bien plus supérieur. de musulmans français sont sommés de pratiquer leur religion en se pliant aux caprices de Boubakeur qui s’est permis de dicter leur « manière de vivre » dans un pays qui n’est pas le sien[2]La proclamation fut acclamée par le magazine en question qui énonça « un moment historique dans la construction du culte musulman en France »..
Pour justifier les diktats religieux et culturels dans la proclamation, le porte-parole autoproclamé des musulmans de France prétend fallacieusement que les musulmans de France lui ont supplié de leur expliquer comment mener leur vie :
La Grande Mosquée de Paris constate que cette immense majorité des Français de confession musulmane est demandeuse d’un texte de clarification de leurs droits et devoirs dans leur foi. [3]Dalil Boubakeur, ”Proclamation de l’islam en France”
Les pauvres musulmans de France ! Ils sont tellement perdus qu’ils ont besoin d’un panthéiste venu du bled pour leur dicter la conduite, les droits et les devoirs du « bon musulman » qui se trouve sur le sol français.
Bien qu’il ne possède aucune culture islamique, Dalil Boubakeur se permet de donner des leçons sur ce qu’est un bon ou un mauvais musulman. Ceux qui ne partagent pas son interprétation laïque et sécularisée de l’islam sont taxés d’« ignorants obscurantistes » avec « une interprétation erronée des textes islamiques ».
Néanmoins, cette proclamation n’est pas vraiment inattendue. Cela fait longtemps que le gouvernement exige du CFCM la rédaction d’une charte qui précise comment les musulmans doivent vivre en France, ou plutôt ; comment les élites françaises souhaitent qu’ils y mènent leur vie[4]C’est une chose qui fut annoncée il y a quelques années par Dalil Boubakeur lui-même : « Nous souhaitons une sorte de charte pour dire ce qu’est notre vie de musulman en France conformément … Continue reading. Il est très probable que le refus initial du CFCM de composer cette charte risible ait provoqué la nomination contestée de Chevènement.
Dans une interview avec « Le Point » publiée en marge de la deuxième proclamation, Dalil Boubakeur explique qu’il tient à « clarifier définitivement les écritures du Coran sur la femme, son statut et ses droits ». Attention, il a bien dit « définitivement », ce qui signifie que sa proclamation remplace toute exégèse du Coran des savants islamiques. En surcroît, elle ne pourra plus jamais être abrogée ou contredite du fait de son statut définitif.
Boubakeur ne semble pas saisir que dicter une tenue vestimentaire aux autres est contraire aux principes de la laïcité qu’il souhaite, coûte que coûte, imposer aux musulmans. La laïcité permet en effet à tout citoyen de s’habiller comme il le souhaite tant qu’il n’enfreint pas la loi.
« LA RÉINTERPRÉTATION DU TEXTE DANS LE CONTEXTE »
Depuis la nomination de Dalil Boubakeur à la tête du CFCM en 2003, des journalistes de la fachosphère n’ont cessé de véhiculer ses fourberies dans une propagande qui vise à réduire la visibilité des musulmans.
Le contenu de la « Proclamation des droits des femmes dans l’islam de France » nous apprend en substance que son auteur abroge purement et simplement les versets coraniques et les enseignements prophétiques qui déplaisent à ses employeurs. La proclamation abolit ainsi plusieurs pratiques islamiques et ne rend plus obligatoire le voile afin de « rendre à la femme française de confession musulmane toute sa dignité ».
Le recteur de la Grande Mosquée de Paris a l’art de mélanger le vrai et le faux pour nous faire avaler sa pilule. Son discours est certes risible, mais il n’en constitue pas moins un danger pour les musulmans peu versés en matière de règles islamiques. Remarquons que Boubakeur justifie l’ensemble de ses verdicts qui abolissent des pratiques islamiques en se référant à « la réinterprétation du texte dans le contexte » et à un « esprit de contextualisation nécessaire aux pratiques de la foi musulmane aujourd’hui » :
L’islam en France n’est ni un nouvel islam, ni une innovation. L’islam en France est simplement la clarification du dogme au regard des réalités d’aujourd’hui. L’islam en France est la résultante de la réinterprétation du texte dans le contexte, c’est-à-dire l’ijtihad. [5]Dalil Boubakeur, ”Proclamation de l’Islam en France”
Ici, Boubakeur fait allusion à la règle islamique qui dit que « la fatwa change en fonction de l’époque et du lieu » et qui implique que le Mufti, dans ses appréciations, doit tenir compte de la situation, de l’endroit et de l’époque à laquelle il vit, chose qui fut précisée par Ibn al-Qayyim :
Celui qui émet des fatwas en se limitant uniquement au contenu des livres et sans tenir compte de leurs coutumes, leurs habitudes, leur époque, leur situation et tout ce qui va avec, est égaré et égarera autrui… Ce type de Mufti est ignorant et ses fatwas constituent ce qu’il y a de plus nuisible pour la religion des musulmans. [6]Ibn al-Qayyim, ”’Ilâm al-Muwaqi’în”
La règle islamique qu’aborde Boubakeur existe bel et bien et est entièrement correcte. Or, sa compréhension de la règle et la façon dont il l’applique sont ô combien erronées, car ‘tenir compte des coutumes et de l’époque à laquelle vivent les gens’ ne signifie nullement rendre licite ce qui l’islam a interdit :
En soi, les jugements (religieux) d’Allah et son Messager ne changent nullement en fonction des différentes époques, de l’évolution des situations existantes ou du renouvellement des événements. Il n’y a pas une seule affaire dont le jugement ne peut être retrouvé dans le Livre d’Allah ou la Sounna du Prophète ﷺ, que ce soit de manière textuelle et explicite, par voie de déduction, ou par un autre moyen. Certains en possèdent la science, d’autres l’ignorent. [7]Mohammed Ibn Ibrahim, ”Fatâwa al-Sheikh Mohammed Ibn Ibrahim”
Changer la fatwa en fonction de l’époque ou de la situation ne signifie donc nullement interdire ce qui est obligatoire dans le but, par exemple, d’obtenir un salaire du gouvernement français :
Or la parole des savants qui dit que “la fatwa change en fonction de la situation” ne signifie nullement ce que s’imaginent certaines personnes qui comprennent peu — ou pas du tout — les jugements (islamiques), leurs principes et leur méthode de déduction. Ces gens-là pensent que la règle signifie qu’il leur est permis d’émettre des fatwas qui assouvissent leur avidité bestiale, leurs pulsions libidineuses, leurs intérêts terrestres ou leur compréhension erronée et contagieuse (de la religion). C’est pourquoi ils veulent atteindre leurs objectifs en subordonnant au plus possible les textes à leurs propres intérêts. Et dû à cette mauvaise compréhension, ils sortent les paroles de leur contexte. [8]Mohammed Ibn Ibrahim, Ibid.
Boubakeur pense donc que la règle signifie que le sens de la religion et de ses textes change en fonction du temps et du lieu. Plus encore, il est d’avis que l’islam et ses pratiques doivent toujours se soumettre à l’autorité en place qui détermine alors ce qui est halal ou harâm. À l’époque d’Hitler, Dalil aurait ainsi facilement pu déclarer que dans un esprit de contextualisation nécessaire aux pratiques de la foi musulmane, il est permis de participer aux occupations et génocides perpétrés par les nazis. En adoptant la compréhension ‘Boubakeurienne’ de cette règle, on peut aller loin, très loin !
Le changement de fatwa ne se fait donc pas en privilégiant des intérêts personnels ou politiques aux dépens des fondements de la religion musulmane :
La compréhension correcte de la règle “la fatwa change en fonction de la situation” est donc celle que partagent les personnes de science. La règle signifie que le changement de fatwa se fait en fonction de ce qui est en accord avec les fondements de la législation islamique, les différents motifs en vigueur et les intérêts qui sont visés par le Coran et la Sounna du Prophète ﷺ.
Notons que la règle précise que c’est bien la « fatwa » et non le « jugement » qui change avec le temps. Les fatwas sont basées sur l’ijtihad et sont donc contextuelles. Elles peuvent changer en fonction du temps et de la situation du fait qu’elles tiennent compte des coutumes et des besoins qui sont en vigueur. En revanche, les jugements islamiques, étant basés sur des preuves évidentes, ne sont pas soumis au changement. Ce que les textes révélés déclarent être obligatoire est obligatoire pour toujours et ce qui est illicite restera illicite à jamais. C’est ce qu’affirme, entre autres, le grand savant andalou l’Imâm al-Shâtibi (1320-1388) dans son livre « al-Muwâfaqât »[9]Al-Shâtibi, « al-Muwâfaqât Fi Ousoul al-Sharî’a », Vol. 1, p.109-110.
LE MUFTI QUI IGNORE CE QU’EST UNE FATWA
Les paroles des savants islamiques précisent donc que c’est l’« ijtihad » du Mujtahid et la « fatwa » du Mufti qui changent et non les « jugements » religieux fixés par les textes révélés. Il s’agit de deux choses entièrement différentes que Dalil Boubakeur n’a pas été capable de distinguer à cause de son inculture manifeste. C’est avec un ton pédantesque que celui-ci déclara fièrement dans « Le Point » que sa proclamation fut basée sur un « effort de réflexion (ijtihad) ». Or, dans le 9e point de cette même proclamation, on découvre que Dalil ignore ce qu’est l’ijtihad :
Également dans un esprit d’ijtihad, la règle en matière d’héritage doit être la confirmation religieuse de répartition des parts entre héritiers, selon la règle du Coran. [10]Dalil Boubakeur, ”Proclamation des droits des femmes dans l’islam”
Confirmer la répartition des parts entre héritiers prescrite par le Coran, revient à confirmer un jugement islamique. Cela n’a rien à voir avec l’ijtihad. C’est assez difficile à concevoir, mais Boubakeur pense réellement qu’affirmer ce qui est clairement établi dans le Coran, relève du domaine de l’ijtihad et pense donc avoir prononcé une fatwa.
Et quand mieux Boubakeur connaissait la définition de la fatwa, pour autant cela ne lui conférerait aucune autorité en la matière. Les savants religieux sont les seules personnes compétentes dans ce domaine. Ceci n’est évidemment pas le cas pour Dalil qui n’a jamais entamé d’études islamiques et qui possède d’énormes lacunes dans les enseignements élémentaires de l’islam. C’est d’ailleurs cette ignorance abyssale du recteur qui a engendré sa compréhension déconcertante de la règle en question.
Quoi qu’il en soit, les jugements islamiques restent invariables et il n’appartient à personne de les changer ou de les abolir. Ce n’est pas parce qu’on vit à une époque ou dans une société où tout le monde consomme de l’alcool qu’on va rendre halal les boissons alcoolisées. Pourquoi ? Parce que l’alcool est formellement interdit dans le Coran et dans la tradition prophétique. Et tout jugement issu des textes islamiques n’est pas soumis au changement, peu importe les coutumes des gens ou l’époque à laquelle ils vivent.
Cependant, l’islam tient compte des coutumes et des besoins qui évoluent avec le temps, et c’est ici que la fatwa peut varier en fonction des facteurs spatio-temporels (habitudes, besoins, etc.). Un exemple de la fatwa qui change avec le temps est celle qui est liée à la Zakat al-Fitr[11]La Zakat al-Fitr est une aumône qui doit être versée sous forme de denrées alimentaires aux nécessiteux à la fin du mois de Ramadan.. Dans le Hadith qui traite de l’acquittement de cette aumône et qui légifère ses modalités, le Prophète ﷺ mentionne plusieurs sortes de nourritures qui étaient données aux pauvres à son époque (dont l’orge et les dates), mais qui aujourd’hui ne constituent plus la nourriture principale chez la majorité des musulmans. C’est ici que chaque Mufti tiendra compte de l’époque, des besoins et de la situation du pays dans lequel il se trouve. Il émettra une fatwa en conséquence qui sera déterminée en fonction des coutumes culinaires et de la nourriture la plus en usage dans le pays concerné. En Indonésie, à titre d’exemple, le riz s’impose comme la denrée alimentaire de base et convient aux plus indigents. C’est pourquoi le Mufti indonésien émettra une fatwa ordonnant les gens à donner du riz aux pauvres afin de s’acquitter de leur Zakat al-Fitr.
Le statut de la Zakat al-Fitr reste néanmoins obligatoire et son montant ne change pas. La seule chose qui change est le type de nourriture. On constate clairement que le changement de fatwa n’a aucune incidence sur la loi de base et n’implique nullement un changement du jugement islamique.
En regard de ces précisions, on appréhende mieux l’interdiction d’adopter des « fatwas sur mesure » allant à l’encontre des lois de la religion qui sont puisées des textes révélés. Malheureusement, notre Mufti en herbe ne s’encombre pas de ce genre de détails quand il veut supprimer le voile islamique sur le sol français. Le jugement du voile n’est pas sujet à un ijtihad qui se ferait sous couvert d’une fatwa de contextualisation, car celui-ci est clairement attesté par le Coran, la Sounna et le consensus des savants islamiques. Il n’y a, en effet, jamais eu de savant reconnu, que ce soit au passé ou au présent, qui a émis la grotesque fatwa de Boubakeur qui n’a aucun problème à rendre licite ce qu’Allah a interdit. « Et ne dites pas, conformément aux mensonges proférés par vos langues : “Ceci est licite, et cela est illicite”, pour forger le mensonge contre Allah. Certes, ceux qui forgent le mensonge contre Allah ne réussiront pas »[12]Sourate al-Nahl, 116..
Lisez la suite dans l’Ebook “Dalil Boubakeur, la fatwa laïque qui supprime le voile islamique”
Dalil Boubakeur, La Fatwa L… by Kareem El Hidjaazi
Références
↑1 | Bien que ce soit le nombre communément admis, plusieurs chercheurs estiment que le nombre réel de musulmans est bien plus supérieur. |
---|---|
↑2 | La proclamation fut acclamée par le magazine en question qui énonça « un moment historique dans la construction du culte musulman en France ». |
↑3 | Dalil Boubakeur, ”Proclamation de l’islam en France” |
↑4 | C’est une chose qui fut annoncée il y a quelques années par Dalil Boubakeur lui-même : « Nous souhaitons une sorte de charte pour dire ce qu’est notre vie de musulman en France conformément à la laïcité et aux droits et devoirs des musulmans. Nous avons contacté des personnalités pour établir cette charte ». |
↑5 | Dalil Boubakeur, ”Proclamation de l’Islam en France” |
↑6 | Ibn al-Qayyim, ”’Ilâm al-Muwaqi’în” |
↑7 | Mohammed Ibn Ibrahim, ”Fatâwa al-Sheikh Mohammed Ibn Ibrahim” |
↑8 | Mohammed Ibn Ibrahim, Ibid. |
↑9 | Al-Shâtibi, « al-Muwâfaqât Fi Ousoul al-Sharî’a », Vol. 1, p.109-110 |
↑10 | Dalil Boubakeur, ”Proclamation des droits des femmes dans l’islam” |
↑11 | La Zakat al-Fitr est une aumône qui doit être versée sous forme de denrées alimentaires aux nécessiteux à la fin du mois de Ramadan. |
↑12 | Sourate al-Nahl, 116. |
2 commentaires